Le COSMOS publie, avec AÉSIO mutuelle, OpinionWay et avec le soutien de l’Afdas, les résultats de son enquête sur l’impact/héritage des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 en matière d’emploi et de formation au sein des structures de la branche professionnelle du sport.

Des structures sportives qui recensent une forte demande

Près de la moitié des structures interrogées constatent une augmentation de l’intérêt pour leur club depuis les JOP de Paris 2024 (45%).
Dans les faits, 50% constatent une augmentation du nombre de pratiquants/licenciés, dont 13% une forte augmentation.

Par ailleurs, 54% des structures pensent avoir une capacité d’accueil suffisante pour faire face à cette augmentation.

Enfin, 16% des structures constatent un changement dans leur public depuis les JOP, notamment un public plus jeune.

Des entreprises qui s’organisent face à la hausse de la fréquentation

30% des structures ayant perçu une augmentation du nombre de pratiquants/licenciés envisagent de recruter davantage de personnel et 27% d’augmenter le temps de travail des salariés déjà en poste. 15% prévoient même de mener ces deux actions conjointement. 

Outre l’aspect recrutement et temps de travail, 59% des structures prévoient de former leurs salariés pour faire face à la hausse du nombre de pratiquants ou à l’accueil de nouveaux publics, près d’un tier (31%) l’a déjà fait.

Une meilleure vision du handicap

La moitié (47%) des structures disent accueillir des personnes en situation de handicap.

Parmi elles, un tier (32%) a recruté ou formé un encadrant diplômé et 17% ont l’intention de le faire.

Les Jeux Paralympiques, en montrant une autre vision du handicap, permettent à 30% des structures n’accueillant pas de personnes en situation de handicap de l’envisager. 

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